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ÉDITORIAL – Dimanche 30 Avril 2023 – 4e dimanche de Pâques

Retrouvez la feuille paroissiale hebdomadaire N°18.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 10, 1-10

« Je suis venu pour que les hommes aient la vie et qu’ils l’aient en abondance »


« Amen, amen, je vous le dis : Moi, je suis la porte des brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des bandits ; mais les brebis ne les ont pas écoutés. Moi, je suis la porte. Si quelqu’un entre en passant par moi, il sera sauvé ; il pourra entrer ; il pourra sortir et trouver un pâturage. Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr. Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance. »
Les brebis, le voleur et le berger, ou les brebis, les bandits et la porte ?
Il semble qu’il y ait comme une confusion dans l’esprit de Jésus.
Est-il la porte ou le berger ?
Une seule certitude, les brebis, quoi que l’on en pense, ont un esprit de discernement. Elles ne suivent pas n’importe qui, elles suivent celui qu’elles connaissent et qui les fait sortir.
Le berger a une mission : faire sortir les brebis. Il doit les guider, en les appelant par leur nom. Le pasteur a pour rôle de libérer les brebis et d’en prendre soin.
Si nous poussons cette parabole un peu plus loin, le pasteur est celui qui est le responsable des brebis qui lui sont confiées. Il doit non pas les asservir, mais leur faire découvrir l’espace qui les entoure et leur permettre d’évoluer sans encombre.
Le pasteur est au service de la liberté de ses brebis. Il ne doit ni les contraindre, ni les tromper. Il n’est pas au service de sa propre promotion, ni à la recherche de reconnaissance. Il est le pasteur, et pourquoi ne pas dire « le passeur ». Il doit permettre aux brebis de passer d’un état de troupeau indéfini à la condition de personne libre et consciente de ce qu’elle fait.
Nous l’avons tous compris : quand le Christ parle de « pasteur », il parle de lui-même, l’unique et vrai pasteur qui connaît chacune de ses brebis que nous sommes.
Il est évident que nous nous reconnaissons dans les brebis qui écoutent sa voix.
Mais il y a une mise en garde sévère : il y a des brigands qui se font passer pour des pasteurs. Il y a des usurpateurs qui tentent de séduire et d’attirer à eux. Ils n’ont pas d’autre fin que de mentir pour leur propre gloire et un succès immédiat. Ils ne
prennent pas soin des brebis, ni des personnes. D’ailleurs, ils égorgent et font périr au lieu de libérer et faire vivre.
Cet évangile est d’une actualité criante, nous avons tous en mémoire les méfaits de brigands qui, se faisant passer pour des pasteurs, ont corrompu et trahi.
Jésus est le pasteur, mais il est aussi la porte. Il est cette porte incontournable qu’il faut franchir et que les pasteurs véritables doivent permettre de discerner.
Jésus est bel et bien la porte, il n’y a pas d’autre nom par lequel nous soyons sauvés. Il nous faut passer par lui, par sa mort et sa résurrection. Il nous faut accepter de suivre son chemin et accueillir dans nos vies son modèle d’humilité.
C’est bien pour cela qu’il est tour à tour le pasteur qui nous guide et la porte qui nous introduit dans une vie nouvelle.
Nous sommes invités à le suivre et à devenir participants du Royaume.
Père Jorge JIMENEZ


« Amen, amen, je vous le dis : Moi, je suis la porte des brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des bandits ; mais les brebis ne les ont pas écoutés. Moi, je suis la porte. Si quelqu’un entre en passant par moi, il sera sauvé ; il pourra entrer ; il pourra sortir et trouver un pâturage. Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr. Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance. »
Les brebis, le voleur et le berger, ou les brebis, les bandits et la porte ?
Il semble qu’il y ait comme une confusion dans l’esprit de Jésus.
Est-il la porte ou le berger ?
Une seule certitude, les brebis, quoi que l’on en pense, ont un esprit de discernement. Elles ne suivent pas n’importe qui, elles suivent celui qu’elles connaissent et qui les fait sortir.
Le berger a une mission : faire sortir les brebis. Il doit les guider, en les appelant par leur nom. Le pasteur a pour rôle de libérer les brebis et d’en prendre soin.
Si nous poussons cette parabole un peu plus loin, le pasteur est celui qui est le responsable des brebis qui lui sont confiées. Il doit non pas les asservir, mais leur faire découvrir l’espace qui les entoure et leur permettre d’évoluer sans encombre.
Le pasteur est au service de la liberté de ses brebis. Il ne doit ni les contraindre, ni les tromper. Il n’est pas au service de sa propre promotion, ni à la recherche de reconnaissance. Il est le pasteur, et pourquoi ne pas dire « le passeur ». Il doit permettre aux brebis de passer d’un état de troupeau indéfini à la condition de personne libre et consciente de ce qu’elle fait.
Nous l’avons tous compris : quand le Christ parle de « pasteur », il parle de lui-même, l’unique et vrai pasteur qui connaît chacune de ses brebis que nous sommes.
Il est évident que nous nous reconnaissons dans les brebis qui écoutent sa voix.
Mais il y a une mise en garde sévère : il y a des brigands qui se font passer pour des pasteurs. Il y a des usurpateurs qui tentent de séduire et d’attirer à eux. Ils n’ont pas d’autre fin que de mentir pour leur propre gloire et un succès immédiat. Ils ne
prennent pas soin des brebis, ni des personnes. D’ailleurs, ils égorgent et font périr au lieu de libérer et faire vivre.
Cet évangile est d’une actualité criante, nous avons tous en mémoire les méfaits de brigands qui, se faisant passer pour des pasteurs, ont corrompu et trahi.
Jésus est le pasteur, mais il est aussi la porte. Il est cette porte incontournable qu’il faut franchir et que les pasteurs véritables doivent permettre de discerner.
Jésus est bel et bien la porte, il n’y a pas d’autre nom par lequel nous soyons sauvés. Il nous faut passer par lui, par sa mort et sa résurrection. Il nous faut accepter de suivre son chemin et accueillir dans nos vies son modèle d’humilité.
C’est bien pour cela qu’il est tour à tour le pasteur qui nous guide et la porte qui nous introduit dans une vie nouvelle.
Nous sommes invités à le suivre et à devenir participants du Royaume.
Père Jorge JIMENEZ


« Amen, amen, je vous le dis : Moi, je suis la porte des brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des bandits ; mais les brebis ne les ont pas écoutés. Moi, je suis la porte. Si quelqu’un entre en passant par moi, il sera sauvé ; il pourra entrer ; il pourra sortir et trouver un pâturage. Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr. Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance. »
Les brebis, le voleur et le berger, ou les brebis, les bandits et la porte ?
Il semble qu’il y ait comme une confusion dans l’esprit de Jésus.
Est-il la porte ou le berger ?
Une seule certitude, les brebis, quoi que l’on en pense, ont un esprit de discernement. Elles ne suivent pas n’importe qui, elles suivent celui qu’elles connaissent et qui les fait sortir.
Le berger a une mission : faire sortir les brebis. Il doit les guider, en les appelant par leur nom. Le pasteur a pour rôle de libérer les brebis et d’en prendre soin.
Si nous poussons cette parabole un peu plus loin, le pasteur est celui qui est le responsable des brebis qui lui sont confiées. Il doit non pas les asservir, mais leur faire découvrir l’espace qui les entoure et leur permettre d’évoluer sans encombre.
Le pasteur est au service de la liberté de ses brebis. Il ne doit ni les contraindre, ni les tromper. Il n’est pas au service de sa propre promotion, ni à la recherche de reconnaissance. Il est le pasteur, et pourquoi ne pas dire « le passeur ». Il doit permettre aux brebis de passer d’un état de troupeau indéfini à la condition de personne libre et consciente de ce qu’elle fait.
Nous l’avons tous compris : quand le Christ parle de « pasteur », il parle de lui-même, l’unique et vrai pasteur qui connaît chacune de ses brebis que nous sommes.
Il est évident que nous nous reconnaissons dans les brebis qui écoutent sa voix.
Mais il y a une mise en garde sévère : il y a des brigands qui se font passer pour des pasteurs. Il y a des usurpateurs qui tentent de séduire et d’attirer à eux. Ils n’ont pas d’autre fin que de mentir pour leur propre gloire et un succès immédiat. Ils ne
prennent pas soin des brebis, ni des personnes. D’ailleurs, ils égorgent et font périr au lieu de libérer et faire vivre.
Cet évangile est d’une actualité criante, nous avons tous en mémoire les méfaits de brigands qui, se faisant passer pour des pasteurs, ont corrompu et trahi.
Jésus est le pasteur, mais il est aussi la porte. Il est cette porte incontournable qu’il faut franchir et que les pasteurs véritables doivent permettre de discerner.
Jésus est bel et bien la porte, il n’y a pas d’autre nom par lequel nous soyons sauvés. Il nous faut passer par lui, par sa mort et sa résurrection. Il nous faut accepter de suivre son chemin et accueillir dans nos vies son modèle d’humilité.
C’est bien pour cela qu’il est tour à tour le pasteur qui nous guide et la porte qui nous introduit dans une vie nouvelle.
Nous sommes invités à le suivre et à devenir participants du Royaume.
Père Jorge JIMENEZ


« Amen, amen, je vous le dis : Moi, je suis la porte des brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des bandits ; mais les brebis ne les ont pas écoutés. Moi, je suis la porte. Si quelqu’un entre en passant par moi, il sera sauvé ; il pourra entrer ; il pourra sortir et trouver un pâturage. Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr. Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance. »
Les brebis, le voleur et le berger, ou les brebis, les bandits et la porte ?
Il semble qu’il y ait comme une confusion dans l’esprit de Jésus.
Est-il la porte ou le berger ?
Une seule certitude, les brebis, quoi que l’on en pense, ont un esprit de discernement. Elles ne suivent pas n’importe qui, elles suivent celui qu’elles connaissent et qui les fait sortir.
Le berger a une mission : faire sortir les brebis. Il doit les guider, en les appelant par leur nom. Le pasteur a pour rôle de libérer les brebis et d’en prendre soin.
Si nous poussons cette parabole un peu plus loin, le pasteur est celui qui est le responsable des brebis qui lui sont confiées. Il doit non pas les asservir, mais leur faire découvrir l’espace qui les entoure et leur permettre d’évoluer sans encombre.
Le pasteur est au service de la liberté de ses brebis. Il ne doit ni les contraindre, ni les tromper. Il n’est pas au service de sa propre promotion, ni à la recherche de reconnaissance. Il est le pasteur, et pourquoi ne pas dire « le passeur ». Il doit permettre aux brebis de passer d’un état de troupeau indéfini à la condition de personne libre et consciente de ce qu’elle fait.
Nous l’avons tous compris : quand le Christ parle de « pasteur », il parle de lui-même, l’unique et vrai pasteur qui connaît chacune de ses brebis que nous sommes.
Il est évident que nous nous reconnaissons dans les brebis qui écoutent sa voix.
Mais il y a une mise en garde sévère : il y a des brigands qui se font passer pour des pasteurs. Il y a des usurpateurs qui tentent de séduire et d’attirer à eux. Ils n’ont pas d’autre fin que de mentir pour leur propre gloire et un succès immédiat. Ils ne
prennent pas soin des brebis, ni des personnes. D’ailleurs, ils égorgent et font périr au lieu de libérer et faire vivre.
Cet évangile est d’une actualité criante, nous avons tous en mémoire les méfaits de brigands qui, se faisant passer pour des pasteurs, ont corrompu et trahi.
Jésus est le pasteur, mais il est aussi la porte. Il est cette porte incontournable qu’il faut franchir et que les pasteurs véritables doivent permettre de discerner.
Jésus est bel et bien la porte, il n’y a pas d’autre nom par lequel nous soyons sauvés. Il nous faut passer par lui, par sa mort et sa résurrection. Il nous faut accepter de suivre son chemin et accueillir dans nos vies son modèle d’humilité.
C’est bien pour cela qu’il est tour à tour le pasteur qui nous guide et la porte qui nous introduit dans une vie nouvelle.
Nous sommes invités à le suivre et à devenir participants du Royaume.
Père Jorge JIMENEZ

Diocèse de Lyon

Flux L’Evangile quotidien

  • Évangile : « Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là porte beaucoup de fruit » (Jn 15, 1-8)

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