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DIMANCHE 3 JUILLET – MESSE DES JUBILÉS

Retour sur la messe du dimanche 3 juillet à La Tour de Salvagny

La messe présidée par monseigneur Patrick Le Gal a été l’occasion de rendre grâce pour les prêtres des paroisses de l’Esprit Saint des Portes de Lyon et de la Sainte Famille qui ont animé nos communautés et que nous n’oublierons pas…

Grand merci à Paul Forêt, Jean Roux, Bertrand Carron, Régis Grosperrin, Louis Chol, Bonaventure Tisorte-Fideral, Eric Besson.

ÉDITORIAL – Dimanche 22 mai 2022 – Année C – 6ème dimanche de Pâques

Retrouvez toutes les informations dans la feuille hebdomadaire N°21.

A Lourdes, sur les pas de Bernadette

Le pèlerinage diocésain à Lourdes, présidé par Mgr Olivier de Germay, aura lieu du 6 au 11 juin. Les inscriptions sont ouvertes auprès du service diocésain des pèlerinages.

 » Quand Bernadette est entrée dans la grotte de Massabielle, à Lourdes, celle-ci était sombre et boueuse, fréquentée par les porcs. Pourtant, en se laissant guider par Marie, Bernadette y a découvert une source d’eau pure. Nous-mêmes, en arrivant à Lourdes, sommes parfois lourds de nos soucis et de nos épreuves. Mais si nous nous laissons guider par Marie, nous découvrons la source de la vraie Joie !  » + Olivier de Germay

Informations pratiques

  • Une paroissienne de la paroisse de l’Esprit Saint des Portes de Lyon propose de porter vos intentions de prière à Lourdes. Veuillez les écrire et les déposer sous enveloppe cachetée dans les corbeilles de quête, en précisant bien ‘’pour Lourdes’’.
  • Les personnes malades ou à mobilité réduite sont les bienvenues. Elles seront accueillies dans les accueils dédiés (Notre-Dame et Marie Saint-Frai), les personnes valides seront logées en hôtel.
  • Une formule pour les 18-30 ans est proposée cette année par la pastorale des jeunes du diocèse de Lyon, avec un parrainage d’une personne malade ne pouvant se rendre à Lourdes.

 Pour en savoir voir plus, vous pouvez consulter le tract du pèlerinage 2022.

ÉDITORIAL – Dimanche 15 mai 2022 – Année C – 5ème dimanche de Pâques

Retrouvez toutes les informations dans la feuille hebdomadaire N°20.

Le bienheureux Charles de Foucauld sera canonisé le 15 mai 2022

La fraternité vécue selon Charles de Foucauld

Bientôt canonisé, le moine trappiste français vécut au plus près du peuple touareg et développa pour lui une profonde amitié, puisée dans sa soif du Christ.

Charles de Foucauld, prêtre français, « pauvre parmi les pauvres » et « frère universel », comme il se définissait lui-même sera prochainement canonisé. Au début du siècle dernier, il a planté les graines de la Parole divine au cœur du Sahara.*

Charles de Foucauld

La vie de Charles de Foucauld

Né à Strasbourg en 1858, il devient officier de la cavalerie après avoir fait l’école militaire de Saint-Cyr, puis part explorer le Maroc. Converti en 1886, après s’être confessé en l’église Saint-Augustin à Paris, il rentre chez les moines trappistes où il prononce ses vœux en 1892.

Sa vie le mènera à Nazareth en Terre Sainte, en Syrie, puis au Sahara, à partir de 1901, après son ordination, où il deviendra « l’apôtre des Touaregs ».

Au plus près de ce peuple, il se met à l’écoute de ces hommes et femmes qui vont lui sauver la vie. Gravement malade du scorbut, il sera remis sur pieds grâce à la détermination des femmes qui lui feront boire du lait de chèvre. Les onze dernières années de sa vie au cœur du désert le rapprochent de ce peuple, dont il recueille les poèmes. Il publiera aussi un dictionnaire de la langue touareg qui fait autorité.

« Je veux habituer tous les habitants à me regarder comme leur frère, le frère universel » disait-il, expliquant aussi qu’il n’était pas venu au désert pour convertir les Touaregs mais pour essayer de les comprendre. Charles de Foucauld sera assassiné le 1er décembre 1916 devant la porte de son ermitage.

Entretien réalisé par Olivier Bonnel, Cité du Vatican : retour sur l’héritage spirituel particulièrement fécond du « Frère Charles de Jésus » et de cette amitié avec le peuple touareg avec Mgr Claude Rault, père blanc, évêque émérite de Laghouat-Ghardaïa en Algérie.

ÉDITORIAL – Dimanche 8 mai 2022 – Année C – 4ème dimanche de Pâques

Retrouvez toutes les informations dans la feuille hebdomadaire N°19.

Nominations : Bertrand Carron à Mornant
Jorge Jimenez curé de la Sainte Famille et de l’Esprit Saint des Portes de Lyon

Certains le savent déjà par diverses sources, mais il faut le dire officiellement maintenant.
Après avoir passé neuf ans comme curé à l’ensemble paroissial de la Sainte Famille, et six ans comme curé de l’Esprit Saint des Portes de Lyon, je pars sous d’autres cieux, plus au sud. Je vais donc bronzer à la montagne du sud de Lyon, à Mornant. Je serai curé des paroisses Saint Jean Pierre Néel, et Saint Vincent. Tout sera très différent de ce que j’ai déjà connu.

Mon successeur est maintenant connu : le nouveau curé, pour les six clochers sera Jorge Jimenez.
Pour l’instant donc, pas de grand changement dans la vie des paroissiens de Lentilly, Marcy-l’Etoile, Dommartin, Sainte Consorce, Charbonnières et La Tour de Salvagny.
De toute façon, il faut bien voir que selon le faible nombre des vocations sacerdotales et la sécularisation de la société – qui diminue le nombre de chrétiens dans nos communautés, nous serons de plus en plus tenus de collaborer sur des échelles plus larges qu’aujourd’hui.
Il reste que les communautés sont appelées très certainement à vivre de façon plus autonome par rapport au ministère ordonné. Les paroissiens eux-mêmes doivent vivre leur foi dans la tendresse les uns pour les autres sans attendre tout des ministres. Lesquels – vous en faites souvent l’expérience, n’en savent pas plus qu’eux sur la façon d’aimer leurs frères.
Je fais donc confiance aux paroissiens de ces six clochers pour vivre dans la joie cette transition comme
je fais confiance à mon évêque pour cette nouvelle étape de ma vie et de mon ministère.


Père Bertrand Carron.

ÉDITORIAL – Dimanche 1er mai 2022 – Année C – 3ème dimanche de Pâques

Retrouvez toutes les informations dans la feuille hebdomadaire N°18

VOCATION

Le dimanche 8 mai, 4ème dimanche du temps de Pâques, est traditionnellement le dimanche des vocations. Quand on entend ce mot, « vocation », on pense « appel de Dieu », et donc, assez spontanément, on le réserve aux autres, les prêtres, les moines, les religieux, les religieuses, dont on pense que, eux, ont entendu « l’appel de Dieu ».

Il faut reconnaître que cette habitude de raisonnement nous dédouane ! Alors, moi, Dieu ne m’appelle-t-il pas ?

Pourquoi Dieu ne m’appellerait-il pas ?

En fait, nous devons renverser notre première manière de comprendre ce mot de « vocation » : Dieu appelle, toujours, et chacun ; et son appel n’est pas nécessairement une expérience mystique, il passe par des appels.

Dieu appelle indirectement. Pour prendre un exemple, quand on entend un religieux, une religieuse ou un prêtre parler de son appel, bien souvent, cet appel est devenu clair à travers des étapes : des paroles entendues, des demandes reçues, des situations rencontrées, de nombreuses expériences qui auront été comme autant d’appels par lesquels s’est formée peu à peu la conscience que « Dieu m’appelle » à cet engagement, à ce service, à ce choix de vie.

Et pour nous ? Osons-nous poser l’acte de foi que Dieu nous a appelés et continue de le faire ? Peut-être que nous sommes parfois passés à côté de son appel, mais – très sûrement – notre vie chrétienne est aussi tissée de l’expérience d’avoir reconnu des appels du Seigneur et d’y avoir répondu.

Relire notre histoire de vie chrétienne

Il est bon de relire ainsi notre histoire de vie chrétienne, pour se rendre compte, avec humilité et émerveillement, que Dieu nous appelle, chacune, chacun, et que cet appel est bien souvent passé par des personnes.

Alors nous pourrons peut-être mieux accueillir cette autre réalité : l’appel de Dieu dans ce monde passe aussi par nous ! Sans prétention, mais avec le cœur ouvert et l’oreille ouverte, choisissons à nouveau d’être au service de la volonté de Dieu, une volonté jamais anonyme mais qui rejoint chacun, une volonté d’amour, pleine de bonté et de miséricorde.

p. Régis Grosperrin aa    vicaire

ÉDITORIAL – Dimanche 14 avril 2022 – Année C – 2ème Dimanche de Pâques ou de la Divine Miséricorde

Retrouvez toutes les informations dans la feuille hebdomadaire N°17

Pessah, la Pâque juive, et Pâques tombent cette année aux mêmes dates !

C’est un phénomène très rare, même s’il y a plusieurs siècles un courant chrétien avait souhaité maintenir la concomitance. Pour les juifs, la fête de Pâque tombe toujours le 15 du mois de nisan, le premier de l’année, soit le 15 avril. Côté chrétien, c’est le concile de Nicée en 325 de notre ère qui a mis au point la méthode de détermination de la fête de Pâques. Désireux que cette date tombe un dimanche, jour de la Résurrection, l’Église romaine est partie du jour de l’équinoxe de printemps – le 21 mars –, puis, 14 jours plus tard, de la nuit de la pleine lune. Pâques est fêtée le dimanche qui suit.

Pâque se dit en hébreu « Pessah ».

La plupart des exégètes rattachent le terme au verbe hébreu « pasah » qui signifie « boiter », « danser », « sauter » mais aussi « épargner », « sauver ». Ce dernier sens est certainement celui des chapitres 12 et 13 du livre de l’Exode. « Pessah » est instituée dans l’Ancien Testament la nuit où le peuple hébreu s’échappe d’Égypte, où il a été retenu en esclavage. Le rituel institué à cette occasion implique de tuer un agneau, que l’on mangera et dont le sang sera utilisé pour recouvrir le linteau de la porte de chaque maison, évitant ainsi aux familles israélites d’être victimes de la dixième plaie, quand Dieu éliminera les mâles premiers-nés, enfants et animaux des Égyptiens.

« Ainsi le mangerez-vous … Mangez-le avec précipitation, lui, Pessah, le Saut pour YHVH . » : « Pessah » signifie ainsi « saut ». Au verset 13, on peut lire : « Le sang sera pour vous un signe sur les maisons où vous êtes. Je verrai le sang et je sauterai au-dessus de vous. » Pâque exprime bien l’idée de protection alors que toute une série de catastrophes s’abattent sur l’Égypte…/… Ainsi, la Pâque de l’Ancien Testament préfigure-t-elle, aux yeux des chrétiens, le sacrifice du Christ. C’est pour cela qu’il n’y a pas d’agneau pascal lors de la dernière cène de Jésus avec ses disciples, le jeudi saint. C’est Lui l’agneau, qui nous délivre de nos « esclavages ».

Mais comment expliquer le passage de la Pâque au singulier à Pâques au pluriel ?

Le mystère demeure. L’une des pistes explicatives serait la volonté de marquer l’universalisme en ajoutant un « s ».

Le théologien luthérien Jacques-Noël Pérès émet une autre hypothèse :

« Avant le XVIe siècle, les catholiques parlent de Pâque. Il est possible que, par la suite, on ait ajouté un “s” pour signifier le rituel selon lequel le croyant est tenu de faire “ses Pâques.” Il s’agit alors de se confesser, de recevoir l’absolution pour pouvoir communier une fois dans l’année. Les catholiques procèdent également au lavement des pieds le jeudi saint et font le chemin de croix le vendredi, rituels inconnus des protestants.

La troisième branche du christianisme, l’orthodoxie, applique, elle, un autre calendrier, dit julien, différent du grégorien. C’est pourquoi la Pâque orthodoxe est fêtée 15 jours plus tard. Enfin certains protestants reprennent, lors du jeudi saint, les symboles du « seder », la Pâque juive, pour signifier la filiation entre Ancien et Nouveau Testaments.

Extraits de l’hebdomadaire protestant « Réforme »

ÉDITORIAL – Dimanche 10 avril 2022 – Année C – Dimanche des RAMEAUX et de La PASSION DE NOTRE SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST

Retrouvez toutes les informations dans la feuille hebdomadaire N°15.

RÉCUPÉRATION POLITIQUE

« Béni soit celui qui vient, le Roi, au nom du Seigneur ! » acclament les foules qui entourent Jésus lors de son entrée à Jérusalem (Luc 19, 38). On attendait de la part de Dieu un homme, un sauveur. On le pensait comme un roi, un chef politique, un nouveau roi David. Cette récupération politique de Jésus a signé sa condamnation. Quelques temps avant, en effet, une réunion des autorités religieuses à Jérusalem fait cette analyse : « Cet homme accomplit un grand nombre de signes. Si nous le laissons faire, tout le monde va croire en lui et les Romains viendront détruire notre Lieu saint et notre nation. » (Jean 11, 47-48). La peur a conduit le calcul politique aboutissant à la mort de Jésus. Les premiers lecteurs de l’Évangile de Jean connaissent l’ironie de l’Histoire : en 70, les Romains sont venus détruire le Lieu saint, le Temple de Jérusalem, et disperser la nation hors de sa terre.

Cette année, le temps de Pâques coïncide avec les élections présidentielles.

Dans la conclusion d’un petit document de la Conférence des évêques de France sur les enjeux de cette élection L’espérance ne déçoit pas – je souligne quelques repères généraux pour nous :

  • « La peur est toujours mauvaise conseillère. C’est l’espérance qui ouvre le chemin des choix courageux et salutaires. »
  • « Nous devons soigneusement distinguer ce qui relève de l’impossibilité de conscience et ce qui relève d’un choix encore acceptable, même s’il ne correspond pas totalement à nos convictions, parce que, alors, un bien, même modeste, reste réalisable. »
  • « Les ressources spirituelles de notre foi emplissent nos cœurs de joie et éclairent nos choix de vie. Elles nous donnent également le goût de contribuer avec tous nos concitoyens, quelles que soient leurs appartenances intellectuelles, spirituelles et culturelles, à plus de justice et de paix. »

P. Régis, vicaire

ÉDITORIAL – Dimanche 27 mars 2022 –  4ème dimanche de Carême – Année C

Retrouvez toutes les informations dans la feuille hebdomadaire N°13.

La pastorale des funérailles

Pastorale des funérailles

La pastorale des funérailles est un service de l’Eglise de notre diocèse. Elle est représentée dans les paroisses par des équipes funérailles qui accompagnent les familles lors d’un décès. Chaque baptisé, prêtre et laïc, peut témoigner de la compassion et de l’espérance de l’Eglise.

« Et si un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui ». (1 Co 12, 26). Les témoignages de familles accompagnées nous disent qu’elles ont besoin d’être guidées dans leur épreuve. Les membres de l’équipe leur apportent une présence, de l’écoute, un réconfort, un soutien discret et chaleureux.

Beaucoup d’entre nous ont ainsi été accompagnés lors du décès d’un proche et ont été touchés par ces gestes de fraternité dans ces circonstances douloureuses. Deux moments importants de notre accompagnement sont la rencontre avec la famille pour préparer la célébration et notre participation à la célébration qu’un laïc peut conduire s’il n’y a pas de prêtre.

C’est un service, mais aussi un échange vrai qui enrichit les accompagnateurs. Nous sommes tous frappés, lors de ces rencontres par la richesse de la vie de la personne défunte et de sa famille, même si souvent elles ne sont pas proches de l’Eglise. Dieu est amour et nous espérons avec eux que leur défunt est dans la paix du Seigneur.

Actuellement les membres de l’équipe de notre paroisse sont : Denise Ecochard et Odile Vial de Dommartin ; Catherine Vienne, Marylène Couffin, Pascal Colin et Elisabeth Schoeler de La Tour de Salvagny ; Jean Haug, soutenu par Michèle Arreckx, Maryse Jacquemetton, Marie Françoise Tay et Hélène Noyer de Lentilly.

Nous remercions aussi ceux qui nous aident, les prêtres qui célèbrent si la famille souhaite une Eucharistie et les personnes qui animent les chants. Si vous souhaitez nous rejoindre, ou bien simplement venir voir, vous serez aidés par l’équipe et les prêtres.

Vous pouvez commencer par assister aux préparations et aux célébrations puis participer plus activement dès que possible. Ensuite le diocèse propose des formations : formation initiale utile pour tous, formation à la conduite de célébration et au commentaire des textes pour les personnes qui conduisent les célébrations.

Ainsi vous pourrez prendre confiance et témoigner de votre foi de baptisé tout en vivant une belle expérience de solidarité.

ÉDITORIAL – Dimanche 20 mars 2022 – 3ème dimanche de Carême – Année C

Retrouvez toutes les informations dans la feuille hebdomadaire N°12.

JOURNÉE DE PRIÈRE POUR LES VICTIMES DE VIOLENCES ET D’AGRESSIONS SEXUELLES AU SEIN DE L’EGLISE

En mars 2021, les évêques de France réunis en Assemblée plénière ont voté une série de 11 résolutions, dont la 8e répond à l’invitation du pape François à vivre une journée de prière pour les victimes de violences et agressions sexuelles, d’abus de pouvoir et de conscience au sein de l’Église.

La date de cette journée a été fixée au 3ème dimanche de Carême.

Pourquoi une journée de prière durant le temps du Carême ?

Le 3e dimanche s’inscrit dans l’appel à la conversion qui irrigue la marche vers Pâques. C’est le dimanche où les catéchumènes qui se préparent au baptême vivent un temps de vérité devant le Seigneur que la tradition nomme « scrutin ». Le mot évoque le discernement (scruter) et le choix entre la lumière et les ténèbres. Les catéchumènes sont invités à se tourner vers le Seigneur pour se voir à sa lumière.

Faire mémoire pour les personnes victimes d’abus, fait entendre à l’ensemble de l’Église de France cet appel à la lucidité devant son péché collectif ainsi que l’appel à ne pas refuser le chemin d’une nécessaire et radicale conversion pour revenir vers Dieu et accueillir la grâce de devenir témoin d’une vie nouvelle que Dieu donne.

En résumé, l’enjeu de ce dimanche s’exprime en 3 verbes :  ne pas détourner le regard, se reconnaître appelé à la conversion et accueillir la vie nouvelle qui surgira à Pâques.

P. Régis Grosperrin aa, vicaire

(Source : Conférence des évêques de France)

ÉDITORIAL – Dimanche 13 mars 2022 – 2ème dimanche de Carême – Année C

Retrouvez toutes les informations dans la feuille hebdomadaire N°11.

Dieu nous appelle !

Cette année, 5 adultes et 2 jeunes des paroisses de la Sainte Famille et de l’Esprit Saint des portes de Lyon recevront les sacrements de l’initiation chrétienne au terme d’un parcours catéchuménal débuté en janvier 2021.

Ophélie, Linda, Xiaosu, Maxime et Jonathan, ainsi que Charline et Anabella, ont été officiellement appelés par notre évêque, ce premier dimanche de Carême, à recevoir le baptême pendant la vigile Pascale, le 16 avril 2022, suivront la première communion, le même jour, puis la confirmation le jour de la Pentecôte. 

Cette célébration de l’appel décisif, a réuni tous les catéchumènes de notre diocèse à la cathédrale Saint Jean. Il est particulièrement émouvant de ressentir l’appel de Dieu pour chacun de nous, quelle que soit notre origine, notre âge, notre lieu de résidence… La diversité de cette assemblée de catéchumènes, parrains, marraines, accompagnants, familles, prêtres est un témoignage vivant de l’universalité de l’Eglise. Cette Eglise diverse, mais unie en Jésus, dans l’Amour et la Paix est vraiment une magnifique source d’espérance pour le monde ! Le Carême est un temps de combat spirituel, particulièrement pour les catéchumènes. Ce temps appelé « de la purification et de l’illumination » les conduira jusqu’à la nuit de Pâques où ils renaîtront à une vie nouvelle.

Ce temps sera rythmé par trois rites pénitentiels, vécus en communauté, pendant la messe : les scrutins.

–             Le dimanche 20 mars à 10h30 à Lentilly (Evangile de la Samaritaine)

–             Le dimanche 27 mars à 10h30 à Charbonnières-les-Bains (Evangile de l’aveugle-né)

–             Le samedi 2 avril à 18h30 à Ste Consorce (Evangile de la résurrection de Lazare)

La liturgie prévoit que les scrutins soient systématiquement célébrés selon les textes de l’année A, même si nous sommes actuellement en année C.

Chacun de nous est appelé à porter nos catéchumènes dans la prière, à tisser des liens fraternels, à témoigner de sa vie spirituelle et à profiter de cette occasion pour se questionner sur l’appel de Dieu dans sa vie et grandir dans sa propre Foi. Une étole violette vous permettra de les repérer dans nos assemblées et de leur témoigner une attention particulière. Nous comptons sur vous pour les entourer de votre présence et de votre prière tout au long du Carême et plus particulièrement lors de la vigile Pascale !

Cécile Delale, référente au catéchuménat

Diocèse de Lyon

Flux L’Evangile quotidien

  • VEILLEE PASCALE

Le saint du jour