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Feuille paroissiale du 18 au 26 mai 2024

ÉDITORIAL du 12 mai 2024 – 7e dimanche de Pâques

Ecoutez l’homélie du Père Jorge Jimenez

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 17, 11b-19

Ils n’appartiennent pas au monde, de même que moi, je n’appartiens pas au monde.
Sanctifie-les dans la vérité : ta parole est vérité.
De même que tu m’as envoyé dans le monde, moi aussi, je les ai envoyés dans le monde.



Dans quel monde sommes-nous ?
Des pancartes mises à l’envers à l’entrée de nos villes et villages, pour signifier que l’on marche sur la tête. Des prises de parole qui ne collent pas à la réalité de ce que nous vivons. Des décisions qui, sous couvert d’être prises par des experts, ne respectent pas les personnes …
Oui, dans quel monde sommes-nous ?
Un seul enfant catéchisé par classe. Des couples qui demandent le sacrement de mariage pour faire plaisir à la grand-mère. Des enfants qui portent des prénoms fabriqués de toutes pièces. Des noëls transformés en fête des enfants, et des 8 décembre devenus fêtes des lumières. Un jour de congé pour le jeudi de l’Ascension et un autre pour Pentecôte sans bien savoir à quoi cela correspond …
Dans quel monde sommes-nous ?
Le Christ nous le dit très clairement : nous n’appartenons pas à ce monde !
Il est remarquable de constater que la parole du Christ est d’une éternelle actualité…
Les disciples de Jésus n’appartiennent pas à ce monde, ils sont déjà citoyens des cieux. Pour autant, cela ne veut pas dire que nous ne devons pas aimer ce monde ni l’habiter pleinement. Nous avons d’ailleurs cette obligation de transformer ce monde, car il nous a été confié dès la création.


Nous avons une mission là où nous sommes et dans l’époque où nous vivons : donner du sens.
Le monde a perdu le sens, il va sens dessus dessous. Il nous incombe cette difficile mission de témoigner du sens. De tous les sens.
Celui de la vie, de son commencement à sa fin. Qui peut oser dire à une personne que sa vie n’a pas de sens et que, finalement, elle ne mérite pas d’exister …
Le sens de nos fêtes : notre histoire est marquée par la foi chrétienne, notre calendrier est émaillé d’événements de la vie du Christ. Cet homme que nous reconnaissons comme étant le Fils de Dieu venu sur terre et étant Dieu lui-même. Sa naissance, sa mort et sa résurrection, son retour vers le Père et le don de l’Esprit Saint, qui est la naissance de l’Eglise et la présence de Dieu dans notre monde, rythment notre année.
Nombre des noms de nos villes et villages, et nos prénoms sont empruntés à des hommes et des femmes, de toutes conditions et de tous temps, qui ont vécu à la suite du Christ, en mettant en application son message d’amour pour tous, et en particulier pour les petits, les malades et les pauvres.
Il nous revient surtout de manifester qu’un autre rapport entre nous est possible, Que notre vie est orientée et que la mort n’est pas une fin. Nous avons à œuvrer pour que tous et chacun se sache aimé et respecté, car il est à l’image et à la ressemblance de Dieu.

Père Jorge JIMENEZ

Dimanche 23 juin 2024 – Fête de fin d’année

Messe à 10h30 en plein air au château de Dommartin suivi d’un pique nique partagé

Feuille hebdomadaire du 11 au 19 mai 2024

Jeudi 9 mai 2024 – Ascension du Seigneur

Ecoutez l’homélie du Père Jorge Jimenez

« Le seigneur Jésus, après leur avoir parlé, fut enlevé au ciel » Marc 16, 19

Messe du 5 mai et sacrement des malades

Ecoutez l’homélie du Père Jorge Jimenez

Retour… sur la messe en famille avec Sacrement des malades

Samedi 5 mai, nous avons vécu tous ensemble une messe d’une rare émotion qui a montré une communauté unie et réunie autour de ses membres les plus fragiles. Les enfants de la catéchèse les ont accompagnés pendant le temps du sacrement. Un grand merci aux enfants qui ont montré une grande gentillesse et attention vis-à-vis des malades ; un grand merci aux personnes qui ont reçu le sacrement pour leur confiance et leur humilité. Ce fut un bel exemple d’humanité.

ÉDITORIAL du 5 mai 2024 – 6ème dimanche de Pâques

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 15, 9-17

Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime. Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande. Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; je vous appelle mes amis, car tout ce que j’ai entendu de mon Père, je vous l’ai fait connaître.

Le commandement de l’amour.
Le plus grand de tous et le plus difficile.
Nous avons tous, à un moment ou à un autre de notre vie, utilisé le verbe aimer. Il est évident que nous aimons nos enfants, nos parents, notre conjoint, voire notre pays, ou le chocolat, mais toutes ces amours ne recouvrent ni la même réalité ni notre engagement au même degré.
Jésus nous fait entrer dans la réalité de son amour. Le premier qui nous aime, c’est lui. Nous ne faisons que répondre à son amour. Jésus tient sa capacité d’aimer de son Père qui lui a enseigné ce que l’amour vrai signifie.
Nous pourrions relire la Bible avec cette grille de lecture : qu’est-ce qu’aimer veut dire pour Dieu ? Nous serions surpris des réponses que nous donne la Première Alliance. L’amour se reçoit, c’est un don, il naît d’une parole, c’est une promesse, il engage à une fidélité et demande de faire mémoire. Il y a bien d’autres enseignements sur l’amour que nous donne l’Ancien Testament, et nous sommes tous invités à les découvrir.
Quand Dieu aime, il s’engage et tient sa parole. Le livre de la Genèse nous montre un Dieu créateur qui s’engage et qui se souvient. Il invite à faire alliance avec lui. Cet amour exige la vérité, laquelle lie les membres qui s’engagent. Le lien avec Dieu est à l’image de Dieu. Si Dieu nous aime d’un amour éternel, nous sommes alors capables d’aimer comme Dieu.
Aimer peut nous conduire à donner la vie, mais aussi à donner sa vie.
Le don de la vie a deux facettes : l’une est du domaine de l’accueil et l’autre est du domaine de l’offrande. Ce sont les deux faces d’une même pièce.
C’est dans ce double mouvement que nous comprenons jusqu’où va l’amour du Christ et jusqu’où nous sommes invités à nous donner.
« Ce que je vous demande c’est de vous donner les uns aux autres » pourrait-on plagier. La grandeur de l’amour se trouve dans le don vrai et total. Si nous vivons pleinement cette forme de don, Dieu ne peut qu’écouter la demande de son Fils qu’il formule par notre bouche. Dieu, comme tout père aimant, ne refuse rien au fils que nous sommes alors devenu.
L’amour porte du fruit et le fruit de l’amour, c’est le don. Nous le voyons en contemplant le Christ. Devenant à notre tour image et ressemblance du Christ, nous saisissons le sens de l’offrande de sa vie et du service du jeudi saint. « Comprenez-vous ce que je viens de faire ? » nous demande-t-il.
Que pouvons-nous, aujourd’hui, lui répondre ?
Père Jorge

Feuille paroissiale du 4 au 12 mai 2024

Veillée de prière avec la paroisse de Bikfaya au Liban

Jeudi 2 mai 2024 de 18h30 à 19h30 à la maison paroissiale de Charbonnières-les-Bains

Randonnée solidaire à Tarare le 28 avril

Les équipes CCFD-Terre Solidaire (Comité Catholique contre la Faim et pour le Développement) de Tarare et de L’Arbresle organisent le dimanche 28 avril leur 4ème randonnée solidaire.

Quatre parcours de 6, 12, 17 et 21 km vous feront découvrir les beaux paysages autour de Tarare. Un circuit poussette de 4 km sera proposé à Tarare.

Départ et arrivée : Collège Notre Dame de Bel Air à partir de 7h30.

Repas à l’arrivée.

En participant à cette randonnée vous aiderez le CCFD à lutter contre la faim et pour le développement dans les pays en difficulté.

Diocèse de Lyon

Flux L’Evangile quotidien

  • Évangile : « Laissez-les pousser ensemble jusqu’à la moisson » (Mt 13, 24-30)

Le saint du jour