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Parcours FOREVER pour les couples

Trois soirées pour partager à 2, et seulement à 2, autour de 3 thèmes précieux : Merci, S’il Te Plait, Pardon !

Ces soirées sont sur inscription et auront lieu à l’église de Marcy l’étoile les 27 mai, 3 et 11 juin prochain.

Des couples, il en existe de nombreuses sortes : des mariés, des séparés, des remariés, en concubinage, des récents, des noces d’or, … Et tous aspirent à s’épanouir durablement dans cette relation en duo.

Pour les jeunes couples qui se sont engagés à s’aimer pour toute leur vie et qui perçoivent que la vie en couple se travaille au quotidien, que le pire serait de se reposer sur la passion des débuts,

Pour les couples plus matures qui confirment qu’il faut absolument prendre du temps à 2 pour nourrir cet amour, que rien n’est acquit, que le pire serait de penser « ce n’est pas pour nous, on s’est déjà tout dit »,

La paroisse propose de vivre « Forever », un parcours qui invite les couples à prendre trois soirées pour partager à 2, et seulement à 2, autour de 3 thèmes précieux : Merci, S’il Te Plait, Pardon !

Ces soirées seront organisées en différents temps : un couple témoigne de son expérience et partage les clés du thème de la soirée puis plusieurs temps de partage vous invitent à vous approprier ces clés et à les illustrer vous-même tous les 2.

Nous vous attendons nombreux, Merci ! Claire & Grégoire, Adeline & Damien, Paloma & Amaury et Sylvain

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Les paroisses Esprit Saint des Portes de Lyon et Sainte Famille changent de logiciel de gestion et passent sur ENORIA

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Dimanche 18 mai 2025 – 5° dimanche de Pâques

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 13,31-33a.34-35.

Petits enfants, c’est pour peu de temps encore que je suis avec vous. Vous me chercherez, et, comme je l’ai dit aux Juifs : “Là où je vais, vous ne pouvez pas aller”, je vous le dis maintenant à vous aussi. » Je vous donne un commandement nouveau : c’est de vous aimer les uns les autres. Comme je vous ai aimés, vous aussi aimez-vous les uns les autres. À ceci, tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour les uns pour les autres. »

Le commandement nouveau. L’évangile nous fait vivre une fois de plus le drame du Jeudi saint. Les douze entourent Jésus, Judas vient de sortir : « Ce que tu fais, fais-le vite » vient de lui dire Jésus. Le processus est en marche, il est inéluctable. Cette parole va enclencher la trahison de Judas, les procès, la crucifixion. Mais aussi la glorification du Fils et du Père par la mort et la Résurrection. La gloire de Jésus n’est pas sa renommée, c’est d’ailleurs celle-ci qui est en cause. La gloire de Jésus est ce que nous ne pouvons pas quantifier, c’est en quelque sorte sa qualité d’être, sa densité de présence.

Dans l’Evangile de Jean, Jésus se révèle comme étant le maitre de son histoire. Il ne peut être davantage lui-même que quand il décide de donner sa vie. A cet instant il révèle la nature profonde de son être. Il est là pour la glorifier Dieu.

La Gloire de Dieu passe par cette ultime étape. Il ne reste plus qu’à Jésus de donner ses ultimes recommandations : « Aimer vous les uns les autres ». Il ne s’agit d’un appel à la lutte, ni des paroles d’encouragement ou de résignation. Il n’en veut ni à Judas, ni aux puissances en place. La gloire de Dieu doit passer par la mort. Sinon comment la résurrection sera-t-elle manifestée ?

Le commandement de l’Amour est le seul qui puisse sauver le monde et chaque personne. Nous sommes témoins de trop de haine, de trop de violence pour ne pas croire que seul l’amour peu transformer le monde. Si nous sommes honnêtes avec nous même, que cherchons-nous en vérité, être aimé et aimer. Parfois, nous nous trompons de moyens et considérons que l’avoir, que la puissance remplace l’amour. Mais non.

Si Jésus nous donne ce commandement nouveau, ce n’est pas pour faire de nous des personnes mièvres et sans personnalité, mais au contraire il veut faire de nous les héros d’un monde nouveau. Le commandement de l’amour est le moyen que Jésus donne à chacun de ses membres pour transformer le vieil homme en homme nouveau, cette vielle terre en terre nouvelle. Mais ce commandement suppose que nous acceptions de nous laisser convertir, et que nous gagnons nous aussi un peu plus de présence et de qualité d’être. L’Amour doit devenir notre identité véritable.

Jorge JIMENEZ

Feuille hebdomadaire du 17 au 24 mai 2025

ÉDITORIAL Dimanche 11 mai 2025 – 4° dimanche de Pâques

Ecoutez l’homélie du Père Jorge Jimenez

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 10,27-30.

En ce temps-là, Jésus déclara : « Mes brebis écoutent ma voix ; moi, je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle : jamais elles ne périront, et personne ne les arrachera de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tout, et personne ne peut les arracher de la main du Père. Le Père et moi, nous sommes UN. »

Communauté du Chemin Neuf

Le père et moi nous sommes un. Voilà une affirmation qui nous questionne. L’unicité de Dieu est affirmée par Jésus en réponse à une question des juifs, es-tu le Christ ?
Nous sommes sur notre faim, la réponse n’est ni oui, ni non. Jésus fait comme à son habitude un détour pour nous mettre au centre de la question. Si nous étions des brebis, aurions-nous besoin d’une réponse, l’évidence s’imposerait d’elle-même et nous saurions en qui nous avons mis notre foi. Mais nous ne savons pas comme les brebis, nous ne sommes pas à l’écoute de Jésus, nous sommes des questionneurs. Il nous faut sans cesse poser des questions avant de pouvoir nous déterminer. Les réponses qui nous sont faites la plupart du temps ne nous rassurent pas et suscitent d’autres questions et ainsi de suite jusqu’à la fin des temps. Le questionneur n’est pas un écoutant. Au lieu d’accueillir le réponse le questionneur formule sa prochaine question ce qui l’empêche d’accueillir simplement les réponses qui sont faites.
Jésus répond aux juifs qu’ils ne sont pas dans le bon enclos, mais l’ont-ils entendu ?
Cette réponse est aussi la réponse qu’il nous fait. Sommes-nous dans le bon enclos et sommes-nous des brebis dans la main de Jésus. Là non plus la réponse n’est pas évidente ce n’est ni oui ni non.
On pourrait presque faire une réponse de normand, ou de compromis, cela dépend.
Il en va de notre capacité d’écoute. Ecoutons nous vraiment et totalement la voix de Jésus. Combien de fois nous ne retenons que ce qui va dans notre sens, Nous sommes d’accord avec le Christ quand il partage notre avis. Je veux bien être une brebis quand je choisi mon enclos et par conséquence les contraintes qui me conviennent. Les autres je n’en veux pas. D’ailleurs combien de fois entend on au sujet de l’Eglise qui porte la parole de Jésus : elle se trompe, elle est trop exigeante, elle n’a rien compris, il faudrait qu’elle… je vous laisse le loisir de compléter la phrase.
Je passe du Christ à l’Eglise comme du Fils au Père. Ils ne font qu’un, nous aussi nous ne faisons qu’un avec l’Eglise. Nous sommes l’Eglise c’est-à-dire la manifestation du Christ dans ce monde. Certes d’un point de vu individuel nous pouvons nous tromper et faire des erreurs parfois insoutenables, mais l’Eglise comme œuvre de Dieu est celle qui réunit toutes les brebis qui écoutent la voix. L’Eglise, qui ne peut se réduire à celle que nous connaissons ou que nous fréquentons, ne peut être dans l’erreur car elle est manifestation du fils. C’est bien là le paradoxe qu’il nous faut accueillir dans la foi. L’église peut, en ses membre, être dans l’erreur mais pas dans sa finalité car elle est le corps du Christ qui ne fait qu’un avec le Père sous la conduite de l’Esprit saint.

Jorge JIMENEZ

Dimanches « Seulidarité » – Osez la rencontre, ne restez pas seul !

Tous les deuxième dimanche du mois – Salle Saint Ennemond – La Tour de Salvagny –

Soleil, rencontre, joie et partage, voilà ce que nous avons vécu ce Dimanche 11 mai !

Nous étions une bonne dizaine, de tous âges et de tous villages alentours, à partager un repas simple mais riche en discussions. Nous ne connaissions que l’une ou l’autre personne, nous nous sommes donc découverts et appréciés.

L’après-midi, le soleil brillait généreusement et cela nous a permis de faire une grande ballade : Visite du jardin de l’An Mille (Manca) et du vieux bourg ; puis route vers l’hippodrome dont nous avons fait le grand tour avec quelques arrêts sur les bancs disposés le long du chemin ; matchs de foot et jeux d’enfants animés ont égayé le parcours !

Après cette grande virée, nous avons pris un rafraichissement bien mérité et rangé la salle Jeanne d’Arc.

Certaines ne sont pas venu marcher, elles ont joué au jeu Part’âge et elles ont composé une prière :

Merci Seigneur pour ce repas « Seulidarité » qui nous permet de partager.
Dieu d’Amour et de Bonté veille sur ceux qui sont dans la peine

Aide-nous à avancer chaque jour dans nos moments difficiles.
Pardon pour nos moments de doute, de faiblesse avec l’impression que trop de cailloux sont sur notre chemin !
Mais que, malgré tout, nous puissions continuer à avancer en pèlerins d’Espérance.
Amen !

Puis certains se sont dirigés vers l’église pour participer au temps de louange dans la joie, ce qui a bien terminé ce dimanche !

Venez nous rejoindre, ne restez pas seul, osez la rencontre, quelqu’un peut, aussi, avoir besoin de vous !

Caroline et Marie Dominique

Dimanche 9 février, nous étions une bonne demi-douzaine à partager un repas animé et riche en discussions. Nous ne connaissions que l’une ou l’autre personne et nous nous sommes donc découverts et bien appréciés.

L’après-midi, le soleil nous a souri et cela nous a permis de faire une grande ballade : visite du jardin de Manca, petit chemin vers l’hippodrome et remontée vers le vieux bourg que certains ne connaissaient pas !

Après cette grande tournée, nous avons pris un petit goûter bien arrosé !

Puis nous nous sommes dirigés vers l’église pour participer au temps de louange dans la joie, ce qui a bien terminé la journée !

Nous sommes repartis prêts à affronter la semaine suivante et les derniers frimas !

Nous espérons que de nombreuses personnes seules viendront nous rejoindre les autres dimanches.

Osez la rencontre, ne restez pas seul !

Marie Dominique

Concert Souffles Mêlées

Mercredi 14 mai à 20h00 en l’église de Charbonnières-le-Bains

Feuille paroissiale du 10 au 17 mai 2025

Feuille hebdomadaire du 26 avril au 3 mai 2025

Veillée Pascale et dimanche de Pâques 2025

Ecoutez l’homélie du Père Jorge Jimenez pour la veillée pascale

Ecoutez l’homélie du Père Jorge Jimenez pour le dimanche de Pâques

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 20, 1-9

Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour. Il entre dans le tombeau ; il aperçoit les linges, posés à plat, ainsi que le suaire qui avait entouré la tête de Jésus, non pas posé avec les linges, mais roulé à part à sa place. C’est alors qu’entra l’autre disciple, lui qui était arrivé le premier au tombeau. Il vit, et il crut. Jusque-là, en effet, les disciples n’avaient pas compris que, selon l’Écriture, il fallait que Jésus ressuscite d’entre les morts.

ÉDITORIAL du 20 avril 2025 – Dimanche de Pâques


Nous venons de vivre la semaine la plus intense de l’année. La liturgie de ces derniers jours ne nous a rien épargné. Le Triduum pascal s’est achevé il y a à peine quelques heures. Nous l’avions commencé jeudi avec la messe de la cène, nous avons suivi le Christ au jardin du pressoir et entendu le cri qui a déchiré nos cœurs ce vendredi.
Puis rien. Plus rien. Le Fils de Dieu est mort, et Dieu avec lui. C’est la victoire du néant.


Marie Madeleine doit prendre soin du corps de cet homme, il a été si important pour elle. Il lui a rendu la dignité qu’elle avait perdue. Une parole, un geste, un regard ont suffi à Marie Madeleine. La voilà toute affolée : non seulement celui que son cœur aime est mort, mais il n’est plus là où on s’attendait le trouver.
Nous aussi ce matin, nous sommes un peu hagards, la nuit a été courte, ou trop longue. Nous nous réveillons avec la même question qui hante l’humanité depuis des siècles : où est le corps de Jésus ? a-t-il été enlevé ou est-il ressuscité ?
Nous n’aurons pas d’autre réponse que celle de la foi.


Pierre et Jean voient la même chose dans le tombeau. Il n’y a plus rien, sauf quelques linges.
Pierre continue sa réflexion. Tout est là, sauf lui. Que s’est-il donc passé ?
Jean voit et croit. Il ne réfléchit pas. D’ailleurs, à quoi bon… N’était-il pas prêt à cette confession de foi : Jésus est ressuscité d’entre les morts ?
Nous avons, dans cette scène, trois attitudes :

  • celle de Marie Madeleine, troublée et affolée. Elle va chercher des réponses auprès des disciples. Il lui faut une confirmation, il lui faut la parole d’un frère, il lui faut la consolation du témoignage pour pouvoir accueillir ce qui vient bouleverser toutes les certitudes.
  • Il y a Pierre, qui fait ce qu’il faut, qui voit ce qu’il y a à voir, mais dont le cœur est lent à croire. Tous les éléments sont présents, mais comment accepter ce qui a été annoncé ? Il lui faut faire le pas de la foi.
  • C’est celui que Jean fait, sans se poser de question. Il croit. C’est tout aussi difficile de croire à partir de rien que de croire à partir de tout.
  • Nous sommes les générations qui doivent croire à partir de rien. Nous n’avons pas le contact de Jésus.
  • Il ne nous a pas pris sous son aile pour nous initier à la réalité de la résurrection.
  • Nous sommes de cette génération qui doit accueillir le témoignage de ses aînés : ils ont cru. Et nous sommes là, témoins de la foi en Jésus Christ.
  • Nous sommes cette génération qui a le devoir de transmettre la foi. Qui doit consoler les cœurs brisés et ouvrir à l’espérance.
  • Le Christ est ressuscité, il est vraiment ressuscité.

Nous sommes les générations qui doivent croire à partir de rien. Nous n’avons pas le contact de Jésus.
Il ne nous a pas pris sous son aile pour nous initier à la réalité de la résurrection.
Nous sommes de cette génération qui doit accueillir le témoignage de ses aînés : ils ont cru. Et nous sommes là, témoins de la foi en Jésus Christ.
Nous sommes cette génération qui a le devoir de transmettre la foi. Qui doit consoler les cœurs brisés et ouvrir à l’espérance. Le Christ est ressuscité, il est vraiment ressuscité.
Père Jorge JIMENEZ

Diocèse de Lyon

Flux L’Evangile quotidien

  • Évangile : « Celui qui m’a vu a vu le Père » (Jn 14, 7-14)

Le saint du jour